Insignaero

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Les flottilles et escadrilles d'hélicoptères

 Créée le 1-8-1956 à Sétif (Algérie) sur H.21.

En avril 1960, elle est armée avec des Sikorsky HSS.1.

Après son rapatriement en métropole à Saint Mandrier, elle se voit armée en WG.13 Lynx à partir de septembre 1978.  Dissoute le 25-6-2010.

Elle est recréée le 04-10-2012 à Hyères sur hélicoptères NH.90  Caïman.

Ses affectations : Sétif (1956/1957) - Sidi Bel-Abbès (1957/1960) - Lartigue (1960/1961) - Saint Mandrier (1961/2003) - Hyères (2003/2010) - Hyères (2012 et à suivre).

L'emblème au cheval ailé est le même que les Américains avaient adopté pour leurs hélicoptères H.21 (Workorse = cheval de trait). Le Pégase ici présenté, est placé sur une croix d'Agadès.  Insigne homologué tardivement le 4-1-1990 sous le n° M914.

Les premiers de ces insignes ont été réalisés par Arthus Bertrand. Ci-dessous 3 modèles avec émaillages légèrement différents :

En 1983, lors des missions "Olifant" au Liban, la flottille fit réaliser à Beyrouth un insigne. Le voila ci-après :

Par la suite d'autres modèles furent produits. Notons pour le 2° à partir de la gauche, que ce fut une erreur de conception de la firme FIA  au cours de la décennie 1990 (les tours...) :

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Quelques écussons en tissu :

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 Créée en janvier 1958 à Cuers, sur HSS.1. Affectée ensuite à Lartigue en Algérie à/c de février de la même année. Elle participe aux opérations de maintien de l'ordre dans le Sud-Oranais et sur la frontière algéro-marocaine.

A son retour en métropole elle stationne à Saint Mandrier dès juillet 1962. 

Affectée à Lanvéoc Poulmic en juin 1964, base depuis laquelle la flottille fournit chaque année un détachement d'HSS pour la campagne de celle-ci. En janvier 1970, elle se voit armée en Super-Frelon.

Durant l'année 1997 des Dauphin lui sont adjoints. Ces derniers lui sont retirés en janvier 2001 et les derniers Super-Frelon quant à eux sont condamnés en fin avril 2010. A compter de cette date, deux EC-225 (Super Puma) lui sont affectés (achetés à Airbus Hélicoptères).

La flottille est mise en sommeil le 27 juin 2016.

Réactivée le 29 juin 2023 sur la B.A.N de Lanvéoc-Poulmic, la Flottille 32F reprend ses missions tout d'abord avec 3 hélicoptères H160FI, loués.

Le sixième et dernier de ces hélicoptères a été versé à la flottille le 29 février 2024.

Emblème de la flottille :

Insigne à l'échiquier : Dessin de l'EV1 Jean Baudin en 1958, mais non homologué par la suite. Pour information : La flottille bien plus tard a demandé aux héritiers de la maison Courtois, de rééditer cet insigne. La chose fut faite, mais la nouvelle mouture ne comporte aucune inscription au dos. A l'origine en 1958, l'insigne a eu une pastille tenant l'épingle, comportant le nom de Courtois, ce qui n'est pas le cas pour la réédition. De plus lors de cette réédition, des insignes miniatures ont été produits. (Ils n'existaient pas auparavant en 1958....).

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Pour l'aigle sur un piton : Symbolisant les héliportages en des endroits difficiles, cet insigne a été homologué le 29-3-1960 sous le n° M.640, par lettre 98 EM1/ORG/PREMAR IV.

Pour le modèle J.Y Ségalen (JYS) il existe les années 1996, 1998, 2000 et 2002. Je recherche l'année 1996.

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Quelques écussons en tissu :

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Créée le 7-6-1957, sur Hélicoptère H-19 à Alger. Affectée à Lartigue en juillet de cette même année. Ses H-19 sont remplacés en juillet 1959 par des HSS.1.

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Au terme de la guerre d'Algérie elle est affectée à Fréjus-Saint Raphaël en août 1962, puis à Saint Mandrier à compter de juin 1964. Les HSS effectuent leurs derniers vols en juin 1979 et sont remplacés par des Super-Frelon (version assaut).

La flottille est dissoute le 1-10-1999. 

Emblème de la flottille

L'insigne représente la colombe de la paix (pacification, évacuations sanitaires, ravitaillement)  sur fond d'éclair rouge (assaut) et correspond à sa devise "survivre et vaincre".  Homologué par lettre 246 EMG/Org/4° R.M du 30 août 1957 sous le n° M615 (Egalement par lettre 363 EMG/Aéro/o du 24 août 1957).

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Ecusson en tissu (Epoque Super Frelon) :

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Ecusson en tissu (Epoque NH 90 Caïman) :

Elle est récréée le 8-12- 2011 à Lanvéoc Poulmic sur NH.90 Caïman.  Avec ce nouvel appareil dont elle dispose, ses missions sont multiples : Lutte anti-surface, lutte ASM, soutien, assaut en mer, assistances, évacuations sanitaires etc...

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Ex section Alouette III ASM ayant vu le jour le 1-7-1973 , l'escadrille 34F est créée le 9-9-1974 à Fréjus-Saint Raphaël équipée avec ce type d'appareil.

Elle émigre à Lanvéoc Poulmic où elle s'installe  durant le mois de janvier 1975.  Les Alouette III sont abandonnées en 1979 et remplacées par des WG.13 Lynx.

La flottille est mise en sommeil le 4 septembre 2020, marquant ainsi le retrait du service des WG13 Lynx.

Elle est réactivée le 29 janvier 2021 et devient 34F/ESHE (ESHE reprenant la mission de l'ex escadrille 22S) - Cette nouvelle flottille reprend les traditions et partenariats des deux unités. De plus, elle est désormais équipée d’hélicoptères Dauphin N3 pour l’ESHE (École de Spécialisation sur Hélicoptères Embarqués) et d’Alouette 3 pour la 34F. (Les Alouette III étant retirées du service le 9 décembre 2022).

Son emblème

Dessiné par le SM Courtois, cet emblème représente un moloch avec éclair, sur les armes du baron du Poulmic. Insigne homologué par décision n° 60 EMM/CAB du 24-1-1975 sous le n° M.732.

Notons pour le modèle J.Y Ségalen (JYS) que d'autres versions d'année de fabrication existent (1996 - 1997 - 2000 et 2003).

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Pour le modèle ci dessous : Détail curieux, le verso porte les empreintes en creux du rond central et du pingouin du bandeau. Il s'agit vraisemblablement d'un modèle fabriqué grâce à la matrice d'origine de la maison Drago (Peut-être chez Arthus Bertrand ou chez Delsart...).

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Ecussons en tissu :

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Héritière de la section "Jeanne d'Arc" créée en 1969 avec des HSS.1, la flottille 35F voit le jour le 11-6-1979 sur la BAN de Saint Mandrier (Elle remplace alors la section Jeanne d'Arc qui était dôtée d'HSS.1)  En temps que formation affectée au porte-hélicoptères Jeanne d'Arc,, elle met en oeuvre successivement des WG.13 Lynx (jusqu'en 1990)  et des Alouette III SA.316B.  (jusqu'en 1998).

Elle  est désignée pour Lanvéoc Poulmic en octobre 1979. 

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En 1991 elle reçoit des Alouette II (qu'elle conserve jusqu'en 1997). 

A partir de 1992, armement des premiers détachements sur les frégates de surveillance type Floréal. En 1993 armement des premiers sites sur la côte Atlantique ( Cherbourg, Le Touquet, Rochefort) avec des Dauphin de service public.

L'année 1994, voit arriver en son sein, l'hélicoptère Panther (qui y demeure jusqu'en 1995 , transféré ensuite à la 36F).  

Le Dauphin prend la relève en 1994 et ce jusqu'en 1998, année où la flottille est dissoute le 1er octobre. 

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Après sa dissolution le 1er octobre 1998, la flottille est recréée à Saint Mandrier un an plus tard (par fusion de la flottille 33F et de l'escadrille 23S) avec en dotation les hélicoptères suivants :

3 SA 321Super-Frelon (qu'elle conservera jusqu'en 2001), 6 Alouette III et 2 Dauphin AS365F. Ce parc, va évidemment évoluer au fur et à mesure du temps.

A partir de 2001, la mission principale de la 35F sera la mission de service public.

La flottille, assure des détachements à bord de bâtiments de la Marine Nationale. Pour exemple : Pédro à bord du P.A Charles de Gaulle.

Elle assure également des détachements pour la "rescue" dans certains ports de métropole (Cherboug, Le Touquet, La Rochelle, Lanvéoc Poulmic... etc).

Suite à la fermeture de la BAN Saint Mandrier, la flottille est affectée à Hyères en janvier 2004.

Le 10 avril 2024, le vice-amiral Serge Bordarier, commandant la Force de l’Aéronautique navale, a remis la médaille de l’Aéronautique à la Flottille 35F. Créée le 14 février 1945, cette médaille récompense les mérites dans le domaine de l’aéronautique militaire et civile française, à titre individuel ou collectif. Cette décoration attribuée à la Flottille 35F à titre collectif vient récompenser les missions aéromaritimes embarquées et les opérations de secours en mer réalisées par ses équipages .

Son emblème

Il reprend l'insigne du service aviation du croiseur Jeanne d'Arc de 1931. Insigne homologué le 16-6-1981 sous le n° M 772 (Décision 433 EMM/CAB du 16-01-1981).

Pour le modèle J.Y Ségalen (JYS), il existe les années 1996 et 1998. Je recherche celui de 1998.

Curiosité :

En 1999, lors des dissolutions de la flottille 33F et de l'escadrille 23S et de la naissance de la nouvelle flottille 35F,  un particulier avait imaginé le dessin de cet insigne, et en avait fait effectuer le tirage d'une centaine à ses propres frais.  Ces insignes mesurent 32 mm de haut, comportent sur le verso une tête de "Popeye"  et sont numérotés. L'épingle est fixée grâce à une pastille ovale. Bien entendu, ces objets n'ont pas été acceptés ni vendus  par la flottille.

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Ecussons en tissus :

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Créée le 22-9-1995 à Saint Mandrier sur hélicoptère Panther. Elle quitte Saint Mandrier en novembre 2003 et prend ses nouveaux quartiers sur la B.A.N d'Hyères.

Cette flottille assure de nombreux détachements sur des bâtiments de la Marine nationale et sur les frégates basées outre-mer.

A compter du 8 février 2024 , la flottille hérite de drones "Cemcopter S-100". Elle est donc la premère flottille à exploiter ce genre d'appareil, qu'elle utilise aux côtés de ses hélicoptères..

Son emblème :

Rappelant le type d'appareils qui l'arment à sa création (hélicoptères Panther), cet insigne a été dessiné par le peintre de la Marine Michel Bez. Homologué le 23-11-1995 sous le n° M.985, par lettre 431 DEF/DEMM/CAB/NP.

Nota : Il existe un modèle non émaillé, présenté ci-dessous :

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Ecussons en tissu :

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Voir cette formation dans le chapitre "diverses escadrilles à partir de 1946".

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 Créée le 1-9-1964 à Lanvéoc Poulmic. sur Alouette II et III. En 1976 elle est dotée d'Alouette III V.S.V (Vol sans visibilité), et forme les équipages aux particularités du vol au dessus de l'eau, de jour comme de nuit. Assure également le soutien des bâtiments à la mer. (Les Alouette II sont retirées en 1991).

L'escadrille est dissoute le 29 janvier 2021.

Son emblème

Les hermines de Bretagne, symbolisent ici les pales d'un rotor d'hélicoptère. Insigne homologué le 30-7-1976 sous le n° M.744 (Décision n° 471 EMM/CAB du 30- 07-1976).

1.- Pour le modèle Drago, il existe en argent.

2.- Pour le 2° modèle  (chauve souris et dates), il existe un modèle sans ces "fioritures".

Pour ce modèle de chez J.Y Ségalen (JYS) les années 1996, 1998 et 2000 existent

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Quelques écussons en tissu :

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Issue de l'escadrille 58S, la 23S fut la première formation d'hélicoptères non école de l'Aéronautique navale. Elle voit le jour le 1-7-1954 sur la BAN de Saint Mandrier avec des Piasecki HUP2, appareils qu'elle conserve jusqu'en juillet 1965.

L' oiseau bi-rotor  est le premier insigne de cette formation.  Il symbolise l'un des tous premiers appareils de l'escadrille : l'hélicoptère HUP2. Insigne homologué le 23-6-1955 sous le n° M582 (Décision n° 142 EMM/CAB).

Nota : En 1986, un officier marinier de l'escadrille 23S avait suggéré au commandement de cette formation, de faire rééditer l'insigne comportant l'oiseau bi-rotor. La commande fut donc passée chez Arthus Bertrand, qui réalisa à nouveau une série d'insignes, mais la réalisation fut faite en résine au lieu d'émail. De plus, comme c'était l'escadrille qui redemandait cet insigne, Arthus Bertrand n'ajouta pas de "R" au dos.

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Elle perçoit sa première Alouette II en 1956, puis à partir de 1963 des Alouette III (316B et 319B) viendront renforcer ses existants. Viennent ensuite des Dauphins SA.365F. Depuis la création de cette formation, des détachements d'appareils de l'escadrille étaient présents sur nos porte-avions à la mer afin d'assurer éventuellement la "Rescue", lors des appontages et catapultages d'avions (Pedro).

L'escadrille est dissoute le 1-10-1999, son personnel et ses appareils entrant dans la 35F renaissante

L'oiseau de mer larguant une bouée  de sauvetage à un naufragé est le 2° emblème de la 23S :  Insigne homologué le 30-7-1982 sous le n° M.781 (Décision n° 500 EMM/CAB/NP).

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Ecussons en tissu :

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 Créée le 1-12-1967 à Fréjus-Saint Raphaël sur Super Frelon SA 321 (version cargo).

Transite à compter du 12 mars 1968  à bord du P.A Clemenceau à destination de la Polynésie française où elle débarque sur l'atoll de Hao le 16 mai, affectée alors sur la base aérienne n° 185.

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Après dissolution de la SECTALPAC (Section Alouette III du Pacifique créée le 1er octobre 1966 et dissoute le 31 décembre 1974 à Hao), le personnel et les appareils de cette petite unité furent versés à l'escadrille 27S. La 27S fut alors scindée en 2 composantes :  A Hao les 2 Super-frelon armant encore la formation et à Mururoa, les Alouette III.

  En 1976, la 27S sur Super-Frelon fut transférée aux forces de souveraineté française du Pacifique pour les missions d' EVASAN. Les 2 appareils  furent retirés de son sein en avril 1978.  Sur Alouette, elle cessa d'exister à Mururoa le 5-8-1980 et dissoute.

Son emblème représentait le sigle radiologique sur la constellation de la Croix du Sud. Aucune homologation.

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Ecussons en tissu :

Période Super Frelon sur l'atoll de Hao (de 1968 à 1976) :

Période Alouette III sur l'atoll de Mururoa (de 1975 à 1980 :

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Les 2 premiers hélicoptères de la Marine, forment un groupement qui nait le 1-1-1951 à Saint Mandrier. Ce groupement prend le nom d'escadrille 58S le 1er octobre de cette année-là.  Cette unité est une école de formation pour pilotes "hélicoptéristes".

Elle est transférée à Fréjus-Saint Raphaël en juin 1954.  Durant son existence, l'escadrille aura en son sein : des Bell 47 (de juillet 1951 à septembre 1960), des S.51 (de juillet 1951 à septembre 1954), 2 puis 4 Piasecki HUP2 d'octobre 1953 à novembre 1959), d'Alouette II (de janvier 1957 à septembre 1960) et enfin de H.19D (de février à septembre 1960). Deux de ses S.51 (les 58S-10 et 58S.11) sont présents du 29 août 1952 au 18 mars 1953 à bord du P.A Arromanches, puis du 7 avril au 15 mai 1953 à bord du P.A Lafayette et du 9 septembre 1953 au 16 décembre 1955 à bord du P.A  Bois-Belleau, lors des campagnes en Indochine de ces bâtiments.

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L'escadrille est dissoute le 1-10-1960, après transfert à l'Armée de l'Air de la formation des pilotes d'hélicoptères de la Marine (La SME de Chambery), cette mission étant ensuite confiée à l'ALAT.

Son insigne représentant un homme volant est homologué le 28-12-1954 sous le n° M.573. (Décision n° 260 EM/CAB).

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CENTEX HELICO

(Le texte suivant a été emprunté à Net Marine).

1. Le centre d'expertise hélicoptères (CENTEX HELICO) a été créé par décision ministérielle n° 0-64951-2009 du 22 décembre 2009.

Implanté sur le site de la base d'aéronautique navale d'Hyères, il a pour missions principales l'expertise tactique et technique de la composante hélicoptères, l'audit et la qualification des équipages opérationnels d'hélicoptères ainsi que l'évaluation de leur niveau de préparation au combat.

Par ailleurs il apporte son soutien au centre d'expérimentations pratiques de l'aéronautique navale dans le cadre de ses études.

2. Le 11 juillet 2012, la symbolique de cette nouvelle unité est validée par le cabinet du chef d'état-major de la marine.

Sa description est la suivante :

« Ecu français moderne au chef d’azur foncé à un pingouin d’or (emblème de l’aéronautique navale) et au champ taillé d’un échiqueté d’argent et de gueules à dextre, d’azur à trois besants d’or à senestre et à un pilote de sable et d’argent casqué d’or aux lunettes d’azur, sommé d’un rotor tripale du second métal, issant de l’abîme vers la pointe et brochant la partition ».

Cet insigne comporte donc les armoiries de la ville du Poulmic (Finistère), de celles de la ville de Hyères (Var) et de la reprise de l'insigne de l'ex escadrille 58S.